lundi 8 novembre 2010
mardi 12 octobre 2010
Le Mont Saint Michel, gravure couleur
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mercredi 1 septembre 2010
Michel Eisenzopf, graveur
laissant une oeuvre gravé immense
travaillant souvent par superposition de trois plaques de cuivre
en grand format, ce qui est techniquement complexe et rare.
Il fut président de la section gravure à la société des artistes français, lauréat de l'Institut de France, sociétaire du salon d'Automne, membre de la Fondation Taylor, boursier de la Fondation Dufraine...
Si vous souhaitez voir ou revoir les oeuvres de Michel,
elles seront présentées au
48ème Salon des Beaux-Arts de Beaumont sur Oise.
Tous les jours du 12 au 19 septembre 2010
de 15h à 19h salle Léo Lagrange
5 bis rue Léon Godin
95260 Beaumont sur Oise
0134700487
Cloture du salon dimanche 19 septembre à 18h.
Je suis debout au bord de la plage.
Un voilier passe dans la brise du matin,
et part vers l'océan.
Il est la beauté, il est la vie.
Je le regarde jusqu'à ce qu'il disparaisse à l'horizon.
Quelqu'un à mon côté dit : « il est parti !»
Parti vers où ?
Parti de mon regard, c'est tout !
Son mât est toujours aussi haut,
sa coque a toujours la force de porter
sa charge humaine.
Sa disparition totale de ma vue est en moi,
pas en lui.
Et juste au moment où quelqu'un prés de moi
dit : «il est parti !»
il en est d'autres qui le voyant poindre à l'horizon
et venir vers eux s'exclament avec joie :
«Le voilà !»
William Blake
samedi 28 août 2010
bernache
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jeudi 22 juillet 2010
aquarelles
deux petites études: un canard et un tadorne de Belon.
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jeudi 17 juin 2010
Coquillages, les carnets nature chez De Vecchi
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lundi 31 mai 2010
mercredi 12 mai 2010
Denis Marquet

Vous avez dit philosophie?
Voici ce que l'on peut lire sur le site de mon cousin
Platon, au fronton de son École de
philosophie, avait fait inscrire :
"Que nul n'entre ici s'il n'est géomètre".
Mais aujourd'hui, nous avons besoin
d'une nouvelle manière de philosopher.
Les mots entrent et sortent par la tête,
mais ils n'ont pas vocation d'y tourner en rond !
Le Verbe est créateur, paraît-il.
Laissons descendre les questions qui
nous travaillent jusqu'à notre cœur,
là où nous sommes en relation avec nos frères humains ;
et jusqu'à nos viscères,
le seul lieu où, en réalité, se décident nos actes.
Laissons notre être entier être créé et recréé
par la puissance du langage questionnant.
Que la philosophie soit vivante et nous rende vivants.
Alors...
QUE NUL N'ENTRE ICI SANS SON CŒUR ET SES TRIPES !
http://denismarquet.com/
Alors...
QUE NUL N'ENTRE ICI SANS SON CŒUR ET SES TRIPES !
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samedi 1 mai 2010
Albert Jacquard
Huile sur bois
Voici un portrait,
née d'une très belle rencontre avec Albert Jacquard
deux année auparavant,
dans le Perche.
Portrait resté inachevé.
Il y a de cela quelques semaine,
je me suis retrouvée
de nouveau face à cette saisissante personnalitée.
de nouveau face à cette saisissante personnalitée.
Je me demande si ce portrait est vraiment terminé?
"Ce que je suis,
c'est l'ensemble des personnes
que j'ai rencontrées"
que j'ai rencontrées"
Albert Jacquard
dimanche 18 avril 2010
Ouest France de dimanche

Voici ce que j'ai lu dans le Ouest France de dimanche:
C'est Mozart qu'on assassine !
Le ministère de la Culture, les régions, les départements et les communes consacrent environ dix milliards d'euros aux affaires culturelles. Il ne s'agit pas d'animer nos vies avec des fêtes mais de financer des activités et de favoriser les conditions d'une expression artistique. Or, un vent mauvais souffle ces jours-ci sur les affaires culturelles. Les caisses se vident. L'État se désengage et les collectivités locales coupent le robinet. La culture en fait les frais car elle n'est pas prioritaire. La fermeture des services culturels semble un moindre mal face à d'autres urgences sociales...
Aujourd'hui, les craintes sont nombreuses à s'exprimer car la baisse des subventions menace à la fois la tenue des grands festivals et le quotidien de tous les citoyens. Le mécénat se nourrit de quelques avantages fiscaux consentis aux nantis lettrés qui savent bien que le vrai luxe est celui de la beauté de l'art. Mais la générosité éclairée des mécènes ne suffit pas à l'entretien des artistes. Car la société a besoin de cultures générales pour irriguer son quotidien à tous les niveaux. Ce sont les bibliothèques qui font battre le coeur des villes et des villages, ce sont les cours de dessin et de danse, les ateliers de théâtre et de vidéo qui font des têtes bien faites, ce sont la création de spectacles vivants et la permanence d'expositions qui font venir le monde dans les yeux de tout le monde, ce sont les festivals de tous les arts qui favorisent les rencontres entre les hommes de bonne volonté et nourrissent la paix sociale... Et c'est là que se noue notre identité.
Sans cette vitalité du voyage intérieur qui permet à chacun de se construire, que reste-t-il ? Des superproductions planétaires et de la télé en panne de réalité... Face au cauchemar de l'ignorance, au moment où la violence s'empare de l'école, quand les anciens se désolent de la perte des repères, il faut redire que le combat de l'intelligence se mène avec les armes de la connaissance. Au moment où les choix budgétaires s'annoncent dans la douleur du renoncement, il faut se rappeler une constante de l'Histoire. La commande publique a toujours été le moteur essentiel de la culture. Les pyramides, comme le Taj Mahal, le théâtre de Molière comme l'architecture de Versailles, la danse de Lully comme la musique de Beethoven, les cathédrales comme les places républicaines au coeur des villes, la Tour Eiffel comme le Louvre et tout ce qu'il contient, tout a été rendu possible au nom d'une puissance publique. Si les pouvoirs publics privent aujourd'hui les affaires culturelles de leurs fonds, c'est la société qui s'asphyxie, c'est Mozart qu'on assassine en chaque enfant... La culture n'est pas un accessoire pour faire joli. Elle n'est ni de droite ni de gauche. C'est l'air que nous respirons.
Hervé Bertho
Ouest France
vendredi 16 avril 2010
Le cavalier
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mercredi 24 mars 2010
Vanneau huppé
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